Nouvel engagement à l’égard de l’IITA dans le Document final de Nairobi adopté lors la deuxième réunion de haut niveau

  • 2 décembre 2016

Les leaders mondiaux ont renouvelé leur engagement à l’égard de l’IITA à l’occasion de la deuxième réunion de haut niveau du Partenariat mondial pour une coopération efficace au service du développement.

Dans le Document final de Nairobi , publié à l’issue de la réunion, les partenaires du développement s’engagent à accroître la transparence de la coopération au développement. Le document érige la norme de l’IITA en référence en matière de données ouvertes au service des acteurs du développement et souligne la nécessité pour tous de renforcer l’utilisation de ces données.

Depuis 2011, le nombre de signataires de l’IITA est passé de 17 à près de 500 . Les pays partenaires, comme le Bangladesh , le Libéria , et le Myanmar, reconnaissent l’utilité des données de l’IITA. L’IITA continuera de collaborer avec les acteurs mondiaux du développement pour améliorer la qualité des données et faire en sorte qu’un plus grand nombre de pays comprennent les avantages liés à l’utilisation des données de l’IITA .

L’IITA est mentionnée dans l’engagement en faveur de la transparence souscrit à l’alinéa 23c du Partenariat de Busan pour une coopération efficace au service du développement (2011) . En outre, lors de la première réunion de haut niveau en 2014, l’IITA a convenu du lancement d’une nouvelle Initiative du partenariat mondial, jointe en annexe au Communiqué de Mexico .

L’IITA est mentionnée dans le Document final de Nairobi :

Les partenaires du développement pourvoyeurs de la coopération pour le développement s’engagent à :

mettre à jour l’architecture institutionnelle, les politiques et les systèmes de gestion de l’information, selon les besoins, pour rendre la coopération pour le développement plus transparente, en répondant aux besoins d’information des pays partenaires bénéficiaires de la coopération pour le développement, des citoyens et d'autres parties prenantes du Partenariat mondial, ainsi qu’en s’appuyant sur des normes internationales ouvertes en matière de données telles que l’Initiative internationale pour la transparence de l’aide (IITA) et les normes statistiques des systèmes du CAD de l’OCDE.